Les questions les plus fréquentes

Aucune prise en charge n’est pour le moment faite par la sécurité sociale.

En revanche, certaines complémentaires de santé peuvent rembourser tout ou partie des séances. Je vous conseille donc de vous renseigner.

A la fin de chaque séance, plusieurs possibilités de paiement s’offrent à vous.

-en espèce

-par chèque

-par virement bancaire

-par Paylib directement depuis l’application de votre banque

Tant que l’on est en double tâche, on ne parvient pas à être pleinement focalisé sur ce que l’on entend ou sur que l’on pense. On est tiraillé et freiné par ce geste qui ne suit pas la cadence nécessaire. Se libérer de son écriture, c’est s’ouvrir à la pleine conscience, être mieux concentré et surtout avoir une meilleure capacité de mémorisation.

L’inconnu fait peur.
La profession est encore trop méconnue et pourtant, rassurez-vous, on ne devient pas graphothérapeute sans avoir fait d’études, appris les bases de la graphologie, de la psychologie générale, de la psychologie de l’enfant et de la graphothérapie précisément.
Je suis membre de l’AGAME (Association des Graphothérapeutes Approche Multiple et Européens) et nous nous spécialisons au rythme des avancées des neurosciences. Nous ne restons jamais sur nos acquis.
Dites-vous bien que plus tôt le rééducation est mise en place et plus elle est facile, même si on peut remédier aux douleurs, à la lenteur et à l’illisibilité à tout âge.

Vous avez le choix :
Vivre avec ces habitudes qui vous parasitent
Ou avancer en toute sérénité.
C’est vous qui avez la clé.
A vous de la tourner!

Mes patients disent de moi que je suis une personne décontractée, très tolérante et qui inspire confiance.

J’ai été touchée de près par la dysgraphie de mon fils. Et je sais ô combien les parents sont prêts à faire leur possible pour aider au mieux leur enfant et n’ayons pas peur des mots, nous voulons le meilleur pour lui, pour eux (l’excellence même! Mais chut! Ca ne se dit pas!)

 Et si nous pouvions leur donner la lune, nous le ferions, rien que pour les soulager, leur donner confiance et les pousser le plus haut possible :

« Je te souhaite de vivre heureux et qu’un jour tu fasses le métier de tes rêves »

Et si moi, sur ma petite chaise de graphothérapeute, je peux vous aider à y contribuer (un peu),  alors je dis « ok, je vais vous aiguiller, on y va. C’est parti! »